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TOUT SUR TOUT
Année 2005
--> Pas la joie pout tout le monde

C'est vrai qu'il est beau de se souhaiter la bonne année; enfin d'espérer qu'elle soit bonne. C'est que chez nous nous sommes à peu près à l'ecart de certaines choses qui se produisent. Ce matin en ouvrant la page des infos sur internet  j'ai regardé et lu ce qu'il en était des catastrophes en Asie à savoir qu'il y a environ 150.000 morts celà fait mal aux tripes et là on ne peut pas dire et ces personnes ne peuvent pas dirent BONNE ANNEE. Malgré l'aide qui a été apportée aux rescapés de cette catastrophe qui pleurent encore sur leurs proches, leurs voisins.... ayons une pensée profonde pour eux, un sentiment de chaleur car ce n'est pas à souhaiter mais je ne sais pas comment nous réagirions si la chose nous arrivait un jour. Beaucoup de pays ont pensés à ces pauvres gens : 

Les extraits suivants ont été repris sur la page wanadoo et dans la rubrique : L'info en continu. Source: wanadoo info.

VOICI LE LIEN

http://www.wanadoo.fr/bin/frame2.cgi?u=http%3A//actu.wanadoo.fr/Article/article_une_050101214741.33htpr12.html

 A Paris, où 400.000 personnes étaient rassemblées sur les Champs-Elysées, la célèbre avenue arborait, en signe de deuil, des crêpes noirs accrochés sur les arbres.

A Londres, un gigantesque feu d'artifice a illuminé la ville aux douze coups de minuit égrenés par Big Ben, mais deux minutes de silence ont rappelé aux spectateurs le sombre contexte des festivités.

En Thaïlande également, veillées à la bougie et cérémonies bouddhistes ont remplacé les feux d'artifice.

Une veillée aux chandelles et des appels à la prière ont accueilli 2005 sur l'île touristique dévastée de Phuket où, aux douze coups de minuit, des centaines de Thaïlandais et de touristes étrangers sont descendus dans les rues de Patong, bougies et fleurs à la main.

C'est là que l'on voit la mobilisation envers ces pays touchés et encore une fois en ce début d'année n'oublions pasde se prêter main forte.Pour treminer cet article il serait bien de lire ce qui suit et de méditer dessus :

Les rescapés décrivent une horreur qui marquera leur vie à jamais.

Cet article a été repris sur la page page wanadoo dans la rubrique : cataclysme sans précédetnt en Asie.

VOICI LE LIEN

http://www.wanadoo.fr/bin/frame2.cgi?u=http%3A//actu.wanadoo.fr/Article/article_une_050101230446.7oc02zsw.html



PARIS  le 01-01-2005


Six jours après le raz-de-marée qui a ravagé le littoral de l'Océan indien en Asie, faisant 150.000 morts, les rescapés, souvent endeuillés, et se considèrant parfois comme des miraculés, décrivent l'horreur de la tragédie qu'ils ont vécue, et pensent que plus rien ne sera jamais comme avant.

Des centaines de milliers de vie sont brisées, et des pays particulièrement pauvres, comme l'Indonésie et le Sri Lanka ont été touchés. De très nombreux pêcheurs, anonymes, ont péri, emportés par cette immense vague déferlante.

Pour les occidentaux, l'un des "symboles" restera la ville "parasidiaque" de Khao Lak, la plus dévastée de Thaïlande, où les vagues du tsunami, dépassant selon certains témoins les 20 mètres, ont laissé des centaines de morts, cadavres gisant au fil des rues, accrochés aux arbres. "Nous ressentons une vive compassion. Un hôtel devenu un linceul"...dit le ministre français des Affaires étrangères à la vue des cadavres allongés devant l'hotel Sofitel de Khao Lak.

A Meulaboh, sur la côte nord-ouest de Sumatra, en Indonésie, Iskandar Ibrahim, un ouvrier du bâtiment de 38 ans, a marché pendant des jours à travers la jungle, fuyant avec 24 autres habitants le rivage ravagé où ont disparu sa femme et ses trois enfants. Lui a survécu à la brusque montée des eaux, le chantier où il travaillait alors ayant été épargné. "Je remets le sort de ma femme et de mes enfants entre les mains d'Allah", lance-t-il. "Il n'y a presque plus d'espoir de les revoir vivants".

Les mosquées en Indonésie, les temples bouddhistes en Thaïlande, les temples et les églises au Sri Lanka sont devenus souvent des lieux de refuge pour les sinistrés. Il y a aussi quelques "miracles". Une Indienne de 13 ans, Meghan Rajshekar, a été emportée par le raz-de-marée au large de l'île de Car Nicobar. Les vagues, apaisées, la rameneront sur le rivage après deux jours de dérive. Une fillette taïwanaise de 6 ans, Yeh Chia-ni, a survécu au tsunami, accrochée un jour et une nuit à un cocotier.

Le père, la mère, et leur fils de douze ans, français, qui embarquaient pour faire de la plongée sous-marine à Phuket (sud de la Thaïlande) ont été séparés et emportés par les flots après s'être désespérément accrochés les uns aux autres. Alors qu'ils avaient perdu espoir, ils se sont retrouvés "par miracle"près d'un jour après. "Notre vie est marquée à jamais", disent-ils, demandant de ne pas donner leur nom. En revanche, une camarade de plongée a perdu son époux et sa fille dans une équipée semblable, à Khao Lak. Elle est gravement blessée.

Les morts de Takua Pa, également au sud de la Thaïlande, n'ont, eux, même pas le droit d'être enterrés dans la dignité. Réclamées par personne, impossibles à identifier, des centaines de dépouilles se décomposent sous la chaleur tropicale, tandis que les experts légistes livrent une course contre la montre pour mener des recherches avant que ne se déclarent des épidémies. Une infinie tristesse se lit sur les visages des habitants des pays frappés, où la vie n'a pas encore vraiment repris ses droits, mais aussi la dignité, le courage et une extrême générosité.

Les touristes n'en reviennent pas: "Les Thaïlandais ont peu d'argent mais un grand coeur", dit un Allemand blessé rapatrié sur Bangkok. "Une telle hospitalisté est incroyable", dit Arlette Strup, une nérlandaise. Les Français sont aussi pleins d'admiration. "Ils ont tout perdu, parfois même un enfant, mais ils ont fait preuve envers nous, Français, étrangers, d'une abnégation extraordinaire", explique Thérèse Brunet, une jeune femme de Lille (nord), rescapée du village côtier d'Ahungalla, dans le sud du Sri Lanka, qui pense d'abord à remercier les habitants du Sri-Lanka

"Ils nous ont guidés, mais ils ont fait plus, ils nous ont nourris, et ont fait même plusieurs centaines de kilomètres pour nous conduire à notre ambassade, confirme Alain Bouissou, qui vient de Toulouse (sud-ouest). Ils nous ont donné une leçon d'humilité et d'humanité", a-t-il ajouté. Si les dirigeants des pays évoquent déjà la reconstruction, les habitants veulent aussi envisager l'avenir. Pakeerswami, habitant de 33 ans du petit village côtier d'Akkrapattai (Etat indien du Tamil Nadu) avait tout misé sur la mer. "J'ai vendu ma terre pour acheter le bateau", dit-il en précisant que son gagne-pain coûtait "un million de roupies (environ 20.000 dollars)". Il a perdu sa maison, son embarcation, ses filets.

Lui et ses quatre amis, n'avaient pourtant qu'une phrase à la bouche, en visitant vendredi soir les décombres de leur village: "Nous voulons des bateaux et des filets". "Nous voulons retourner en mer".

Source de l'article: wanadoo info


Ecrit par MILOU25, le Dimanche 2 Janvier 2005, 05:36 dans la rubrique "Actualités".
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